Juin 2015.

A peine trois jours (serait-il possible que j’exagère ?) avant une réunion de famille du mois de mai, je me suis rendue compte que ma tenue devrait absolument comporter une jupe-culotte. C’est une obligation, il n’est pas question de discuter. Sauf que je n’en possède pas dans mon placard, et qu’il n’est pas envisageable de faire les boutiques pour acheter un vêtement que je sais coudre.

Au boulot, donc !

Modèle 113 A du Burda 04/2015, taille 34 que-j’aurais-du-mieux-mesurer. Porté avec le spencer du défi Burda du mois de mai, déjà présenté ici.

Le tissu est un satin de coton de chez Toto et tout le monde reconnaîtra des ballerines El Naturalista (qui finiront un jour dans mon compost, il paraît).

Quelle prétentieuse d’avoir coupé en 34 ! Car les femmes selon Burda ont une taille de guêpe. J’ai donc du démonter trois fois la ceinture (ainsi que la braguette) pour pouvoir rentrer dans mon pantalon, en diminuant les pinces afin de récupérer de l’ampleur. Il était donc, en réalité, inutile de recommencer la braguette, mais à vouloir aller trop vite au lieu de réfléchir, on perd beaucoup de temps (alleeeezzz… je suis sûre que je ne suis pas la seule…)

L’avantage, c’est qu’au bout de la troisième fois, le montage de la braguette est nickel.

Les agrafes sont une récup’ de dernière minute sur un pantalon destiné au recyclage. Les chaussures, les agrafes… aujourd’hui c’est donc un message écolo-recyclo-textile.

Vive la couture ! Vive les jupes-culottes !