Les charmants modèles de lalylala ont immédiatement trouvé des petites mains accueillantes.

Je ne présente plus Kira le kangourou…

… ni Dirk le dinosaure.

Et le petit trophée d’ours !

Ça n’a aucune utilité pratique et ça prend la poussière, mais qu’est-ce que c’est mignon ! J’aurais presque envie de me mettre au crochet pour le plaisir d’accrocher ces trophées dans toutes les pièces de la maison…

Le haut est un kimono top de Salme dans une jolie cotonnade aux ballons qui s’est retrouvé un jour, comme son prédécesseur le jersey aux renards, dans ma boîte aux lettres grâce à la gentillesse de biboplulla : merci encore !

Taille 7 ans pour La Petite Fille de 6 ans bientôt, la taille est parfaite.

Ce petit haut à manches revers est très simple à coudre, mais en voulant faire la maligne (et des coutures anglaise pour le confort) je n’ai pas cranté le dessous des manches kimono, qui tirent un peu.

J’ai coupé le dos en un seul morceau, à la pliure, et réalisé une patte indéchirable pour l’ouverture de l’encolure, qui ferme grâce à une bride et un petit bouton, habilement cousus par La Grand-Mère (merci La Grand-mère d’avoir fait le travail de petite main !)

Le modèle de pantalon le plus simple que j’ai trouvé vient du Coudre c’est facile hors-série n°8 (depuis, le burda de juin en a présenté un, à partir de la taille 110, mais ça fait un mois entier que je suis sur cette tenue…). C’est le deuxième modèle que je couds à partir de cette revue, après la robe ange.

Taille 110 pour La Petite Fille de 104 cm, la taille est entièrement élastiquée.

Le pantalon est cousu dans un lin Mondial tissu, à l’origine destiné à coudre le gilet de mariage du Père. Il reste encore une belle chute de mon coupon d’un mètre.

Et les poches ballons, alors ? Les innombrables poches avec d’innombrables ballons ?

Voilà enfin la petite tenue de mi-saison, pratique et utile dans beaucoup d’occasion, que je voulais coudre à l’origine du projet. Mais avec peut-être un peu trop de ballons ?

Il s’agit du modèle 121 du Burda 06/2015 cousue en taille 34 dans une jolie maille synthétique de la maison parisienne des frères Billon.

Une robe efficace, qui met en avant (très en avant) les atouts féminins, en camouflant, grâce au fonçage des milieux devant et dos et à l’imprimé psychédélique, les petits défauts, mais tous les petits défauts quand même.

En tous les cas, le confort est absolu grâce à la maille hyper-extensible (et hyper synthétique) achetée lors de la fermeture d’un atelier lyonnais. Les goussets sous les aisselles (on ne le voit pas à cause de l’imprimé) rajoutent encore au confort : j’adore ces goussets, je n’ai vu cette construction du vêtements que chez Burda pour l’instant.